Algérie Foot – Le retour de Bensebaïni rassure Petkovic : le défenseur sera prêt et indispensable pour la CAN 2025.
Ramy Bensebaïni a effectué un retour attendu avec le Borussia Dortmund, retrouvant la compétition après deux semaines d’absence liées à une douleur au dos. Entré dans les dernières minutes du choc face au Bayer Leverkusen, le défenseur international algérien a repris le rythme sans encombre, un signe extrêmement rassurant à l’approche d’une période déterminante pour son club… mais surtout pour l’équipe nationale. Malgré une absence lors des dernières rencontres des Verts, Bensebaïni semble désormais sur la voie d’un retour complet, au grand soulagement du staff technique algérien.
Un retour maîtrisé qui rassure Dortmund… et Petkovic
Au Borussia Dortmund, Kovac n’a pas voulu précipiter la reprise de son latéral gauche, privilégiant une réintégration graduelle afin d’éviter tout risque de rechute. Le choix s’est avéré payant : en quelques minutes, Bensebaïni a montré qu’il n’avait rien perdu de sa mobilité ni de son agressivité défensive. Les signaux envoyés sont encourageants, et son retour dans le groupe ouvre la porte à un retour rapide dans le onze titulaire lors des prochaines semaines de Bundesliga. Dortmund, qui vise le podium, sait qu’il aura besoin de son expérience et de sa solidité dans les matchs à forte intensité.
Mais c’est surtout en Algérie que ce retour a été accueilli comme une excellente nouvelle. Vladimir Petkovic, qui suit de près l’évolution physique de ses cadres, estime que Bensebaïni sera totalement opérationnel pour la CAN 2025 au Maroc. Le sélectionneur compte énormément sur lui pour stabiliser une défense en reconstruction et apporter son leadership dans les grands rendez-vous. L’expérience africaine du joueur, ajoutée à sa capacité à évoluer aussi bien dans l’axe que sur le côté, fait de lui une pièce essentielle dans le système que Petkovic souhaite installer.
Après avoir manqué les deux dernières sorties des Verts, la présence de Bensebaïni pour la CAN n’est désormais plus un doute mais une quasi-certitude. Pour l’Algérie, souvent fragilisée par les pépins physiques de ses cadres dans les moments clés, cette assurance vaut déjà comme une victoire.
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