Algérie Foot – Le champion du monde français Laurent Blanc sera-t-il le nouvel entraineur de l’équipe d’Algérie ? Le verdict est tombé à ce sujet.
Une folle rumeur s’est répandue ce matin, faisant état du fait que Sadi aurait tout ficelé avec Laurent Blanc, afin qu’il prenne en charge l’équipe d’Algérie. Suite à cela, Fennec Football a contacté une source proche de la FAF, qui a affirmé que le président de la fédération algérienne de football ne s’est pas du tout rabattue sur ce coach, mettant ainsi un terme à cette rumeur.
En ce qui concerne sa rémunération, Blanc percevait généralement pas moins de 250 000 euros par mois à l’Olympique Lyonnais, sa précédente équipe, ce qui représente près de 20 % de plus que ce que touchait Belmadi avec l’équipe nationale. De plus, lorsqu’il était entraîneur principal du Paris Saint-Germain, il touchait mensuellement environ 420 000 euros. En termes de salaire, l’ancien sélectionneur de l’équipe de France est clairement dans une catégorie bien au-dessus de ce que l’Algérie peut offrir.
Par ailleurs, l’annonce imminente de l’officialisation du recrutement de Vladimir Petkovic pour diriger l’équipe nationale d’Algérie a été retardée, en raison de quelques détails sur lesquels les parties impliquées n’ont pas encore trouvé un accord définitif.
Initialement en troisième position dans la hiérarchie établie par la Fédération Algérienne de Football (FAF) pour le recrutement du nouveau sélectionneur, Vladimir Petkovic a été réactivé comme principale option après le retrait de Carlos Queiroz et les réticences de Peseiro. Les négociations se sont intensifiées ces derniers jours, et Petkovic avait même annoncé à ses proches que l’accord était pratiquement scellé. Cependant, un problème est survenu lorsque le coach bosniaque a refusé la première offre salariale de 100 000 euros par mois, réclamant plutôt 120 000 euros. Malgré cela, la FAF a réduit sa proposition, ce qui a compliqué les pourparlers.
Un autre obstacle est apparu lors des discussions juridiques et contractuelles, lorsque Vladimir Petkovic a exigé que son avocat, un Italien expérimenté âgé de 75 ans, intervienne pour régler les détails contractuels. L’avocat a insisté sur certaines clauses que la FAF n’a pas acceptées, ce qui a ajouté une nouvelle dimension aux négociations.
Bien que conscient des contraintes financières de la FAF, Vladimir Petkovic sait également que l’urgence de recruter un entraîneur lui donne un certain pouvoir de négociation. Avec une expérience passée où il touchait 80 000 euros mensuels lorsqu’il était entraîneur de la Suisse, il est peu enclin à faire des concessions importantes. Cette situation a mis en lumière les défis auxquels est confrontée la FAF dans le recrutement d’un nouvel entraîneur, en raison de ses ressources financières limitées.
Alors que les négociations se poursuivent, il est possible que Walid Sadi, président de la FAF, explore d’autres options pour le poste d’entraîneur, alors que l’urgence de la situation exige une solution rapide. Bien que les pourparlers n’aient pas encore été rompus, l’impasse actuelle souligne les difficultés rencontrées dans la conclusion de cet accord crucial pour l’équipe nationale d’Algérie.
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