Algérie Foot– Le match entre l’Algérie et le Mozambique a été marqué par un engagement physique intense, parfois à la limite du règlement. Parmi les actions les plus marquantes de la rencontre, un tacle dangereux subi par Jaouen Hadjam à la 58e minute de jeu a particulièrement retenu l’attention. Aligné inhabituellement en tant que latéral droit, le joueur des Young Boys de Berne a été la cible d’une intervention brutale qui aurait pu avoir de lourdes conséquences.
Alors qu’il tentait une percée sur son côté, Hadjam a été violemment stoppé par un adversaire mozambicain avec un tacle d’une rare agressivité. Une intervention si dangereuse que l’on aurait pu dire, selon l’expression, qu’il a « failli se faire couper en deux » ! Heureusement, plus de peur que de mal : le latéral algérien s’est rapidement relevé et a pu poursuivre la rencontre sans blessure apparente.
Sur le terrain, cette faute a immédiatement suscité l’indignation de ses coéquipiers et des supporters algériens, qui ont dénoncé un geste dangereux, voire intentionnel. Malgré la violence du choc, l’arbitre n’a pas jugé bon de sanctionner sévèrement le joueur fautif, ce qui a alimenté la frustration du camp algérien.
Sur les réseaux sociaux, les réactions n’ont pas tardé à fuser. De nombreux internautes ont exprimé leur incompréhension face à l’absence de carton rouge, tandis que d’autres ont salué la solidité et la résilience de Hadjam, qui a continué à jouer comme si de rien n’était.
Cet incident rappelle à quel point les matchs africains peuvent être rugueux, notamment face à des équipes prêtes à tout pour stopper les offensives algériennes. Pour Hadjam, cette rencontre aura sans doute été un vrai test de caractère, lui qui évolue habituellement dans un championnat suisse réputé pour son jeu plus discipliné.
Malgré ces accrochages, l’Algérie a su garder son calme et imposer sa supériorité sur le terrain face au Mozambique, poursuivant ainsi son parcours avec assurance. Quant à Hadjam, il a prouvé qu’il était un guerrier, prêt à défendre les couleurs des Fennecs, même face aux interventions les plus musclées.
Lire également :
“Tebboune ne va pas….” : Ali Bencheikh craque
