Algérie Foot – Un adversaire et saboteur de l’Algérie et de la FAF fait officiellement son retour à la Confédération Africaine de Football (CAF).
Samuel Eto’o continue son ascension au sein des instances du football africain. Blanchi par la Confédération Africaine de Football (CAF) et rétabli dans la course à l’élection au comité exécutif de la FIFA après une décision favorable du Tribunal arbitral du sport (TAS), le président de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT) vient de réussir un nouveau coup de maître. Lors de la 14e assemblée générale de la CAF, Eto’o a été élu par acclamations en tant que représentant de la zone UNIFFAC au comité exécutif. Il succède ainsi à son compatriote Seidou Mbombo Njoya pour un mandat de quatre ans.
Avec ce nouveau poste, l’ancien attaquant du FC Barcelone renforce son influence au sein du football africain, consolidant sa position stratégique sur l’échiquier continental. Son élection, bien que sans concurrence, témoigne du poids qu’il a su acquérir malgré les polémiques ayant récemment ébranlé son image. Eto’o, qui a fait face à plusieurs critiques sur sa gestion de la FECAFOOT, parvient donc à se repositionner sur la scène internationale avec ce nouveau mandat.
Cependant, son nom reste étroitement lié à une affaire qui continue d’alimenter la rancœur en Algérie. Lors des qualifications pour la Coupe du Monde 2022, Samuel Eto’o avait joué un rôle clé dans un épisode que les Algériens n’ont pas oublié. La double confrontation entre l’Algérie et le Cameroun s’est terminée dans un climat de controverse, avec des décisions arbitrales jugées litigieuses par la Fédération algérienne de football (FAF). Cet épisode, marqué par l’arbitrage de Bakary Gassama, a laissé une profonde amertume du côté des Fennecs, qui se sont vus privés d’une qualification pour le Mondial au Qatar.
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