Algérie Foot– Le football africain attire non seulement les talents joueurs, mais aussi les entraîneurs les plus expérimentés et les mieux rémunérés. Selon les dernières données, le Top 5 des entraîneurs des sélections nationales africaines les mieux payés met en lumière à la fois des figures expérimentées et des jeunes techniciens prometteurs.
En tête de ce classement se trouve Vladimir Petkovic, le sélectionneur suisse de l’équipe nationale algérienne. À 62 ans, Petkovic bénéficie d’un salaire mensuel de 135 000 euros, ce qui reflète la confiance des dirigeants algériens dans son expérience et sa capacité à diriger les Fennecs vers les sommets continentaux et internationaux. Sa carrière riche et son palmarès solide, incluant des succès en Europe, expliquent cette position de leader.
Juste derrière, on retrouve Hugo Broos, l’entraîneur belge de l’équipe sud-africaine, et Emerse Faé, franco-ivoirien à la tête de la Côte d’Ivoire. Tous deux perçoivent un salaire mensuel de 75 000 euros, témoignant de l’importance croissante accordée à la stabilité et à la performance dans les équipes africaines. Hugo Broos, 73 ans, est une figure historique du football africain, tandis qu’Emerse Faé, 41 ans, incarne la nouvelle génération de techniciens africains formés en Europe et en Afrique.
La quatrième place est occupée par Walid Regragui, le sélectionneur marocain de 50 ans, avec un salaire de 70 000 euros par mois. Regragui a su s’imposer comme l’un des entraîneurs les plus influents du continent grâce à son parcours remarquable avec le Maroc, combinant tactique rigoureuse et résultats solides sur les compétitions africaines et internationales.
Enfin, le cinquième du classement est Sébastien Desabre, entraîneur français de la République démocratique du Congo, qui perçoit 50 200 euros par mois. Desabre, âgé de 49 ans, est reconnu pour son approche méthodique et sa capacité à développer des équipes compétitives dans des environnements complexes.
Ce classement illustre l’importance croissante accordée aux entraîneurs dans le football africain et la volonté des fédérations de s’appuyer sur des techniciens expérimentés pour atteindre l’excellence sportive. Il montre également que le continent attire des talents de différents horizons, combinant expérience, jeunesse et vision stratégique.
En somme, la rémunération des entraîneurs africains reflète aujourd’hui leur rôle centr
Lire également : “À cause de Bencheikh, des joueurs se sont retrouvés en prison”


































