Algérie Foot – Le célèbre journaliste et commentateur sportif algérien Hafid Derradji a tenu à clarifier ses récentes critiques adressées au sélectionneur national Vladimir Petkovic ainsi qu’à certains joueurs de l’équipe nationale.
Selon lui, ses propos doivent être compris comme des remarques constructives, motivées par l’amour qu’il porte aux « Verts » et non par une quelconque volonté de nuire. « Nous critiquons par amour et non par haine », a-t-il insisté.
Derradji a expliqué que le fait de pointer du doigt certaines décisions tactiques du coach ou encore le rendement insuffisant de quelques éléments ne signifie en aucun cas un rejet du présent ou une nostalgie excessive du passé. Bien au contraire, il affirme qu’il continuera, comme toujours, à soutenir l’équipe nationale dans toutes les situations, avec l’espoir de la voir rebondir, atteindre la prochaine Coupe du monde et effacer la déception vécue en 2022.
Dans ses déclarations, le journaliste a également adressé un message à ceux qui chercheraient à exploiter la colère des supporters pour alimenter des polémiques stériles ou régler des comptes personnels. Il a mis en garde contre ces manœuvres, rappelant que la critique des fans et des observateurs est le fruit d’une passion sincère et d’une inquiétude légitime pour l’avenir du football algérien.
Pour lui, critiquer ne signifie pas s’opposer : c’est une forme de soutien indispensable. Respecter les choix du sélectionneur ne doit pas empêcher de dénoncer ses erreurs, tout comme le respect dû aux anciens joueurs ne doit pas leur garantir une place automatique malgré une baisse de performance. « L’équipe nationale n’est pas un musée de souvenirs », a-t-il lancé, soulignant que seuls ceux qui prouvent leur valeur sur le terrain méritent d’y figurer.
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