Algérie Foot – Anis Hadj Moussa s’impose comme la relève de Mahrez : un talent éclatant qui symbolise l’avenir offensif de l’Algérie.
La scène du football néerlandais s’incline devant Anis Hadj Moussa, nouvelle étoile montante du Feyenoord Rotterdam. À 23 ans, l’ailier algérien est en train d’exploser au plus haut niveau, affichant des prestations de grande classe qui enflamment les supporters… et interpellent désormais tout le monde du football. Sa progression fulgurante n’a pas échappé à Kenneth Perez, ancien joueur de Feyenoord et consultant influent sur ESPN, qui a livré un verdict sans appel : “Il a évolué à une vitesse impressionnante. C’était un joueur de spectacle à Vitesse, mais à Feyenoord, il est devenu fondamental. Il peut créer quelque chose à partir de rien.”
Le digne héritier de Riyad Mahrez
Ces louanges venues d’un ex-international danois ne font que confirmer une réalité que beaucoup commencent à reconnaître : Hadj Moussa est aujourd’hui le successeur naturel de Riyad Mahrez au sein de l’équipe nationale d’Algérie. Là où le capitaine des Verts a longtemps incarné la créativité et la magie du couloir droit, le jeune Feyenoorder prend peu à peu le relais avec une touche différente : plus directe, plus explosive, et toujours imprévisible.
Sa capacité à provoquer, dribbler et renverser des défenses compactes rappelle le meilleur Mahrez, mais avec un registre encore plus percutant. En championnat néerlandais, il s’impose comme un cauchemar pour les latéraux adverses, combinant technique, vitesse et lucidité dans le dernier geste. À Feyenoord, il n’est plus un joueur de rotation : il est devenu le facteur X, celui qu’on attend pour débloquer les situations compliquées.
Cette montée en puissance tombe à point nommé pour Vladimir Petković, qui cherche à redessiner l’animation offensive des Verts avant la CAN 2025. Si Mahrez reste un leader incontestable, Hadj Moussa incarne déjà l’avenir, cette nouvelle génération qui s’impose sans complexe sur la scène européenne.
Pour le football algérien, c’est une promesse : la flamme laissée par Mahrez ne s’éteindra pas — elle change simplement de main.
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