Algérie Foot –Un coach français insiste pour reprendre l’équipe d’Algérie, en remplacement de l’ex sélectionneur national Djamel Belmadi.
Il s’agit en effet de Patrice Carteron, entraineur de l’équipe qatarie Umm Salal, par laquelle est passée l’international algérien Andy Delort. Il a d’ailleurs complimenté ce dernier, suite à son départ, aujourd’hui en conférence de presse. Après avoir envoyé son CV à la FAF, il n’a pas eu de retour de cette dernière, le Français a demandé à son manager de renvoyer sa candidature. Il est disposé à demander un salaire de 80.000 euros mensuels et à faire des concessions pour ce qui est des assistants.
Dqe son coté, Quique Setien, ancien coach du Barça a vu sa candidature rejetée, à cause de ses prétentions salariales élevées, mais aussi aà cause du Français, dont il ne connait aucun mot.
Pour rappel, Mohamed Maouche, membre de la commission ad hoc chargée d’évaluer les potentiels nouveaux sélectionneurs de l’équipe d’Algérie, a levé une partie du mystère entourant la liste restreinte transmise à Walid Sadi, président de la Fédération algérienne de football (FAF).
L’annonce de cette shortlist a captivé l’attention du monde du football algérien pendant plusieurs jours. Selon Mohamed Maouche, la commission ad hoc désignée par Walid Sadi a achevé sa mission en remettant un rapport détaillé sur chaque entraîneur figurant sur la liste au président de la FAF. L’ancienne gloire de l’équipe FLN a partagé ces informations lors d’une interview sur les ondes de la Radio Algérienne, soulignant que désormais, la balle était dans le camp de Walid Sadi pour faire le choix final.
Quatre noms ont été confirmés dans cette shortlist. Maouche a ainsi révélé que Queiroz, Petkovic, Peseiro et Broos figuraient parmi les sélectionneurs potentiels, corroborant ainsi les spéculations qui circulaient depuis quelques semaines.
Il est important de noter qu’aucun accord n’a été conclu jusqu’à présent, comme l’a récemment précisé la FAF dans un communiqué officiel. Bien qu’un accord semblait imminent avec Vladimir Petkovic, les négociations ont rencontré des obstacles en raison des exigences financières et contractuelles élevées du technicien suisse. Celui-ci semble tirer parti de sa position de force pour revendiquer des conditions plus avantageuses, ce qui a ralenti les pourparlers.
La sélection du prochain entraîneur de l’équipe nationale d’Algérie est un enjeu crucial pour le football algérien. Les supporters et les observateurs attendent avec impatience la décision finale de la FAF, qui devra choisir judicieusement le candidat le mieux à même de conduire l’équipe vers de nouveaux succès sur la scène internationale.
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