Dans une déclaration récente, Slatni a exprimé son opposition à
l’idée de recruter un entraîneur étranger pour diriger les Fennecs.
Selon lui, un entraîneur algérien serait mieux placé pour prendre
en charge l’équipe nationale. Fort de son expérience en tant
qu’ancien sélectionneur des catégories jeunes de l’équipe
algérienne, Slatni met en avant l’importance de la familiarité avec
le football local, la culture et les joueurs du pays.
Cette opinion reflète un débat plus large au sein de la
communauté du football algérien, où certains plaident en faveur de
la promotion des talents nationaux, tandis que d’autres voient
l’avantage d’engager des entraîneurs étrangers possédant une
expérience internationale.
La décision finale quant au choix du prochain sélectionneur
reposera entre les mains de la Fédération algérienne de football
(FAF). Cette dernière devra prendre en compte divers facteurs, tels
que l’expérience, les compétences et la vision du candidat, pour
assurer la continuité du succès de l’équipe nationale.
En attendant l’annonce officielle de la FAF, le débat autour de
l’identité du prochain sélectionneur continuera de susciter
l’intérêt et les opinions divergentes au sein de la communauté
sportive algérienne.