C’est vrai que le nouveau coach de l’EN n’est pas
mauvais et il a l’expérience qu’il faut, mais il n’était pas le
choix numéro un de Mr. Mohamed Raouraoua.
Avant cela Raouraoua a assuré que l’EN aura un entraîneur
à la hauteur de sa nouvelle dimension, c’est-à-dire un coach déjà
mondialiste qui a une bonne connaissance du football africain,
à vrai dire c’est ce qui est arrivé mais la FAF avait des noms
de sélectionneur encore plus mondialiste comme Lippi,
Prandeli, Fatih Terim, Pekerman, Bielsa et Wilmots, en vérité, la
FAF avait réservé un budget pour cela mais au fil des
entretiens qu’a eus Raouraoua et ses collaborateurs avec des
techniciens étrangers dont certains ont participé à l’Euro, il
s’est avéré que les conditions financières sont bien au delà des
prévisions.
Milovan Rajevac qui avait envoyé son CV à la FAF via une agence est
apparu comme une seconde solution, un plan B, C’est donc un
choix dicté par la politique budgétaire de la FAF qui a certes
voulu voir grand mais qui a vite été rattrapée par la réalité du
marché des entraîneurs de haut niveau.
Abdou D, Fennec Football
[frontpage_news widget=”332″ name=”A Voir Aussi :”]