Le match entre l’Algérie A’ et les Émirats arabes unis en Coupe arabe restera dans les mémoires, non seulement pour l’intensité sportive, mais surtout pour les décisions arbitrales qui ont marqué la rencontre. La qualification des Émirats après les tirs au but a été entachée par plusieurs erreurs qui ont privé l’Algérie d’opportunités nettes de prendre l’avantage.
Dans ses déclarations d’après-match, le sélectionneur émirati Cosmin Olăroiu a reconnu que « jouer le temps additionnel a été très difficile » et a évoqué des erreurs arbitrales. Mais un regard attentif sur la rencontre montre que ces « erreurs » ont largement avantagé son équipe. L’Algérie A’ a été privée d’un but tout fait et d’un penalty évident pour une main flagrante dans la surface émiratie.
Olăroiu a affirmé : « Nous avions un penalty clair qui devait être accordé par la VAR. » Toutefois, dans le contexte du match, c’est plutôt l’Algérie qui aurait dû bénéficier de ces décisions. L’arbitrage, perçu comme favorable aux Émirats, a provoqué frustration et incompréhension chez les Algériens, qui ont vu leurs occasions franches écartées par des jugements contestables.
L’arbitre central a manqué plusieurs interventions décisives, notamment sur une main dans la surface qui aurait légitimement pu changer le scénario du match. « Malheureusement, l’arbitre ne l’a pas vue, ou n’a pas voulu la voir », a déclaré Olăroiu, une phrase qui, bien que prononcée pour justifier la fatigue de ses joueurs, souligne en réalité la controverse autour de l’arbitrage et de la VAR.
Malgré ces polémiques, le match a été disputé sur le terrain, avec une Algérie A’ offensive et combative, mais freinée par ces décisions. Les prolongations et la séance de tirs au but ont finalement tourné à l’avantage des Émirats, mais beaucoup estiment que le résultat aurait pu être différent si les décisions clés avaient été prises correctement.
Cette rencontre relance le débat sur l’arbitrage dans les compétitions arabes et l’usage de la VAR. Les observateurs et supporters algériens dénoncent une gestion qui a clairement désavantagé leur équipe, et certains parlent déjà de « scandale arbitral » malgré la victoire officielle des Émirats arabes unis.



































