Algérie Foot– Lors de la retransmission du match opposant l’Algérie au Mozambique sur la chaîne TV6, le commentateur de l’ENTV a lâché une déclaration surprenante qui a immédiatement fait réagir les téléspectateurs. Selon lui, Arsène Wenger aurait comparé Mohamed Amoura à Lionel Messi, affirmant que l’attaquant algérien était le « Messi algérien ». Une phrase qui a rapidement enflammé les réseaux sociaux, mais qui s’est révélée être… totalement fausse.
En effet, à aucun moment Arsène Wenger, l’ancien entraîneur emblématique d’Arsenal et actuel directeur du développement du football mondial à la FIFA, n’a tenu de tels propos à l’égard de l’ex joueur de l’Union Saint-Gilloise. Cette comparaison, bien trop flatteuse et totalement infondée, a laissé perplexes de nombreux supporters et observateurs du football algérien.
Loin de remettre en question le talent de Mohamed Amoura, auteur de prestations remarquées avec les Fennecs, cette erreur de l’ENTV soulève une nouvelle fois des interrogations sur le sérieux et la rigueur des commentateurs de la télévision nationale. Ce n’est pas la première fois qu’une telle bévue survient lors d’une retransmission, ce qui alimente les critiques sur la qualité du traitement médiatique du football en Algérie.
Sur les réseaux sociaux, les réactions ne se sont pas fait attendre. Certains internautes ont pris cette déclaration avec humour, multipliant les montages et les détournements sur le prétendu « Messi algérien », tandis que d’autres ont dénoncé un manque de professionnalisme flagrant.
Si Mohamed Amoura impressionne par sa rapidité et son efficacité devant le but, le comparer à une légende du football comme Lionel Messi semble pour le moins exagéré. Une erreur qui rappelle l’importance de la vérification des sources, surtout lorsqu’il s’agit de citations attribuées à des figures emblématiques du football mondial.
Cette bourde de l’ENTV pourrait bien rester dans les mémoires comme l’une des perles du commentaire sportif en Algérie. Reste à voir si la chaîne réagira en reconnaissant son erreur ou si elle choisira d’ignorer la polémique. Une chose est sûre : les supporters algériens, eux, n’ont pas fini d’en parler.
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