Gouiri n’était pas seulement un
buteur, mais un élément clé dans l’organisation du jeu. Ses
décrochages intelligents permettaient au bloc marseillais de
remonter et d’asseoir la possession du ballon. En se plaçant entre
les lignes, il créait des espaces pour ses coéquipiers et
fluidifiait les transitions, offrant des options offensives variées
et difficiles à contrer pour les défenses adverses.
Depuis son absence, l’OM peine
à retrouver cette dynamique. Le bloc équipe apparaît moins compact
et moins efficace dans la récupération haute du ballon, et les
combinaisons offensives manquent de fluidité. Le déficit se ressent
dans le jeu collectif et dans la capacité à créer des occasions
franches. Plusieurs supporters et analystes ont souligné que les
mouvements de Gouiri, souvent invisibles dans les statistiques,
étaient pourtant essentiels pour le rendement global de
l’équipe.
Malgré les efforts des autres
joueurs, Marseille peine à compenser le vide laissé par son
attaquant. Les entraîneurs tentent de réorganiser le schéma
tactique et de trouver des solutions pour maintenir l’équilibre,
mais il apparaît clairement que Gouiri reste un élément
stratégique, dont l’influence dépasse les simples chiffres.
Avec la reprise des matchs,
l’OM espère un retour rapide d’Amine Gouiri afin de stabiliser
l’équipe et relancer une série positive. Son rôle, souvent
sous-estimé, pourrait bien redevenir déterminant pour remettre
Marseille sur la voie des victoires et améliorer la fluidité
collective sur le terrain.
En attendant, les supporters observent avec
attention la gestion de l’effectif et les solutions mises en place
pour pallier l’absence de celui qui, par ses déplacements et sa
vision du jeu, faisait la différence. L’OM, sans Gouiri, doit
maintenant trouver des alternatives pour ne pas laisser filer de
précieux points dans la course aux objectifs de la saison.