Algérie Foot – Nous dirigeons nous vers un boycotte de l’équipe d’Algérie de la CAN 2025 au Maroc ? C’est l’information inédite du jour !
Dans un article paru sur le site du média algérien Echorouk Online, le média a proposé à l’équipe nationale d’Algérie de boycotter la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025 au Maroc. En soulignant l’importance de cette décision, l’article met en lumière les nombreux défis et désordres organisationnels de la CAN depuis ses débuts en 1957.
L’article commence par rappeler que, malgré la stabilité apparente des grandes compétitions européennes, l’Afrique demeure confrontée à des imprévus constants. Depuis l’augmentation à 24 équipes et le maintien de l’intervalle de deux ans entre chaque compétition, la CAN est devenue synonyme de chaos. Les exemples abondent : en 1994, le Zaïre (aujourd’hui République Démocratique du Congo) a dû céder l’organisation à la Tunisie faute de préparation. En 1996, le Kenya a été incapable d’accueillir l’événement, et c’est l’Afrique du Sud de Nelson Mandela qui a sauvé la situation.
Les promesses non tenues se sont poursuivies en 2000 avec le Zimbabwe, remplacé en urgence par le Nigeria et le Ghana. Ce schéma d’improvisation a continué, soulevant critiques et inquiétudes quant à la capacité de la CAF à organiser un tournoi de manière fiable.
Le Maroc, désigné hôte de la CAN 2025, s’était déjà retiré de l’organisation d’une précédente édition en raison de l’épidémie d’Ebola, transférant alors la compétition à la Guinée équatoriale. La CAN 2025, maintenant programmée en plein hiver et à quelques mois de la Coupe du Monde 2026, représente un risque majeur pour les équipes, y compris l’Algérie, selon Echorouk Online.
Le média suggère que l’Algérie devrait envisager de boycotter la CAN 2025. La participation à un tournoi si proche du Mondial pourrait perturber la préparation des joueurs et les exposer à des provocations inutiles dans un environnement souvent chaotique. La suggestion de boycott vise à préserver l’intégrité de l’équipe et à éviter de se laisser entraîner dans ce qu’ils considèrent comme un “piège” organisationnel et sportif.
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