Algérie Foot– La succession d’Abdelhak Benchikha à la tête de la JS Kabylie (JSK) fait couler beaucoup d’encre. Selon les informations obtenues par Fennec Football, l’entreprise Mobilis, propriétaire du club, semble restreindre ses ambitions en matière de budget pour le recrutement d’un nouvel entraîneur.
Alors que plusieurs CV de techniciens expérimentés circulent, certains affichant des prétentions salariales mensuelles entre 40 000 et 50 000 euros, Mobilis aurait décidé de plafonner son offre à 10 000 euros par mois. Ce montant, bien en deçà des standards requis pour attirer un entraîneur de renom, est jugé insuffisant pour répondre aux attentes des supporters et à l’ambition du club.
Des attentes élevées, un budget limité
Les fans de la JSK espéraient un entraîneur capable de redonner un souffle nouveau à l’équipe et de porter haut les couleurs du club en championnat et sur la scène continentale. Cependant, cette enveloppe budgétaire semble davantage adaptée à l’embauche d’un entraîneur local ou amateur, loin des standards internationaux.
Le recrutement hivernal est également un sujet de préoccupation. Les besoins de l’équipe incluent au moins trois renforts de qualité pour espérer une fin de saison conforme aux ambitions historiques du club. Or, la situation financière actuelle de la JSK semble loin de pouvoir répondre à ces exigences.
Mobilis appelée à revoir sa stratégie
Mobilis, par l’intermédiaire de son directeur général, a souvent exprimé son engagement à construire une équipe compétitive, capable de satisfaire les attentes des supporters. Mais jusqu’ici, ces promesses peinent à se concrétiser.
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