La FIFA a récemment dévoilé la répartition des primes pour la Coupe du monde 2026, prévue aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Avec un total de 652 millions de dollars alloués aux différentes équipes, les sélections auront des gains financiers significatifs selon leurs performances. Pour l’Algérie, ces chiffres sont particulièrement motivants et offrent une perspective claire sur les enjeux économiques de la compétition.
Selon les informations communiquées, chaque équipe participant à la phase de groupes touchera 9 millions de dollars. Ce montant constitue la base de la participation et représente déjà un gain important pour la Fédération algérienne, qui pourra l’utiliser pour le développement du football national, l’organisation des préparations et l’investissement dans les infrastructures.
Si l’Algérie parvient à se qualifier pour les huitièmes de finale, la prime grimpe à 13 millions de dollars, marquant une augmentation notable par rapport à la phase initiale. Ce palier récompense la performance sur le terrain et incite les joueurs et le staff à donner le meilleur dès les matches de groupes. Pour chaque équipe atteignant le stade des 16 meilleures, la récompense s’élève à 15 millions de dollars, ce qui souligne l’importance du passage à ce tour.
En cas de qualification pour les quarts de finale, chaque sélection recevra 17 millions de dollars, un montant qui reflète la difficulté d’atteindre ce niveau et la reconnaissance du mérite sportif. Les primes augmentent encore pour les équipes terminant dans le top 4 du tournoi. L’équipe qui finira à la quatrième place touchera 30 millions de dollars, tandis que celle qui terminera troisième recevra 32 millions de dollars.
Le vainqueur du tournoi sera récompensé par une somme exceptionnelle de 50 millions de dollars, un montant record qui montre à quel point la Coupe du monde reste une vitrine mondiale pour le football et un enjeu financier majeur. Le finaliste recevra 35 millions de dollars, confirmant que chaque match de la phase finale peut avoir des implications économiques importantes pour les fédérations nationales.
Ces primes constituent une motivation supplémentaire pour l’Algérie, qui vise non seulement la performance sportive mais aussi une gestion optimale de ses ressources. Elles permettront d’investir dans la formation, le développement des jeunes et la structuration du football national. Au-delà de l’aspect sportif, ces montants montrent l’ampleur économique de la Coupe du monde et l’importance pour chaque équipe de maximiser ses performances.
Pour l’Algérie, la Coupe du monde 2026 représente donc un double enjeu : performer sur le terrain et bénéficier des récompenses financières liées à chaque palier franchi. Avec un groupe solide et motivé, l’équipe nationale a l’opportunité d’allier prestige sportif et gains financiers considérables.


































