Algérie Foot – L’un des candidats au poste de sélectionneur de l’équipe d’Algérie fracasse le président de la FECAFOOT, Samuel Eto’o.
Dans les méandres du football africain, les tensions et les frictions ne manquent pas, et cette fois-ci, c’est l’ancien sélectionneur du Cameroun, Hugo Broos, qui pointe du doigt Samuel Eto’o, le président de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT).
Les critiques de Broos ont été cinglantes, soulignant la forte personnalité d’Eto’o qui, selon lui, s’immisce souvent dans les affaires où il n’est pas nécessairement appelé à intervenir. Broos suggère que cette omniprésence pourrait être préjudiciable, mettant en doute les décisions prises par les autres membres de la fédération et rendant difficile pour eux de travailler librement.
Le Belge souligne qu’Eto’o, en raison de son statut de légende du football, impose souvent ses choix sans possibilité de contestation, ce qui crée un climat de tension et d’incertitude au sein de la FECAFOOT. Cette interventionnisme excessif aurait également eu des répercussions sur le terrain, perturbant la gestion de l’équipe nationale par le sélectionneur Rigobert Song.
Pendant ce temps, du côté de l’équipe d’Algérie, la Fédération Algérienne de Football (FAF) a élargi sa liste de potentiels candidats pour le poste de sélectionneur, incluant Hugo Broos, mais c’est Carlos Queiroz qui reste le favori pour occuper ce poste. La décision finale sera scrutée de près, dans un contexte où chaque choix peut avoir un impact significatif sur le destin de l’équipe nationale.
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