Algérie Foot – La récente absence de Farès Chaibi de
la liste de l’équipe nationale d’Algérie, drivée par Vladimir
Petkovic, pour la date FIFA de septembre a fait couler beaucoup
d’encre, alimentant diverses rumeurs.
Selon le journaliste Farid Maataoui, la vérité est bien
différente de ce qui a été rapporté dans certains médias.
Contrairement aux allégations selon lesquelles Chaibi se serait
disputé avec le sélectionneur Vladimir Petkovic, Maataoui a précisé
: “Chaibi n’a pas eu de dispute avec Petkovic. Ce
joueur, formé dans l’école française, est profondément ancré dans
une culture d’exigence et de discipline. Il est inconcevable qu’il
ait pu se comporter de la manière décrite dans certaines fausses
rumeurs.”
Maataoui a également souligné que si Chaibi avait effectivement
montré des signes de frustration, cela n’était en rien lié à un
conflit direct avec Petkovic, mais plutôt à un sentiment de
mécontentement général. “Nous avons vu lors du dernier
rassemblement qu’il n’a pas célébré avec ses coéquipiers après la
victoire. Bien qu’il ait pu être déçu par sa substitution, c’est
une réaction naturelle dans le football, et cela ne devrait pas
entraîner de sanctions sévères. Le rôle du coach est aussi de gérer
ces situations avec tact.”
Le journaliste a conclu en insistant sur l’importance de Farès
Chaibi pour l’avenir du football algérien : “Une
discussion de cinq ou dix minutes pourrait suffire à régler ce
malentendu, et il serait regrettable de se priver d’un joueur qui
représente l’avenir de notre football.” Cette
déclaration met en lumière l’importance de la gestion humaine et
psychologique des joueurs, surtout lorsqu’ils incarnent un tel
potentiel pour l’équipe nationale.
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