Algérie Foot – Dans une déclaration percutante, Hafid Derradji, figure emblématique du monde du football, a pris position sur le rôle de la presse dans le travail de l’équipe nationale d’Algérie dirigée par Djamel Belmadi.
En effet, ses propos, éloquents et réfléchis, soulignent l’importance d’une critique constructive et du respect mutuel au sein de la sphère footballistique algérienne.
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La presse et l’équipe nationale : une relation à clarifier
Le légendaire commentateur algérien commence par éclaircir sa position sur la presse, affirmant qu’il ne considère pas que les médias entravent le travail de l’équipe d’Algérie. Sa vision nuancée met en lumière le rôle essentiel de la presse dans le suivi et la couverture du parcours de l’équipe, soulignant que, dans l’ensemble, la presse accomplit son devoir d’informer.
« Je ne vais pas dire que la presse entrave le travail de l’équipe d’Algérie. Quand je parle de la presse, c’est de manière générale; la presse accomplit son travail, c’est tout. En Algérie, tout le monde aime l’équipe nationale et souhaite sa réussite. Les gens ne cherchent pas à détruire l’Équipe Nationale (EN), mais veulent simplement contribuer positivement. », a-t-il déclaré.
Amour de la nation et désir de réussite
L’analyse de Derradji prend une tournure positive en soulignant l’amour universel que porte le peuple algérien à son équipe nationale. Le speaker algérien met en avant la volonté collective de voir l’Équipe Nationale (EN) réussir sur la scène internationale, soulignant ainsi la contribution positive de tous les acteurs, y compris les médias.
« Quand un journaliste critique ou n’est pas d’accord avec les décisions du sélectionneur national, cela ne signifie pas qu’il le déteste. Au contraire, ces professionnels cherchent à améliorer les choses, et il est essentiel de laisser les individus exprimer leurs opinions. Lorsque l’on souhaite critiquer qui que ce soit, il est important de le faire avec respect. », a-t-il souligné.
De plus, le commentaire de Derradji sur les critiques adressées au sélectionneur national, Djamel Belmadi, est particulièrement notable. Il défend la légitimité des journalistes à critiquer les décisions du coach sans pour autant sous-entendre une opposition personnelle. Selon lui, ces critiques visent plutôt à améliorer les performances de l’équipe.
Acceptation de la critique : une nécessité partagée
L’expérience personnelle de Derradji, qui lui-même fait l’objet de critiques, est présentée comme une réalité normale du monde du football. « Même moi, je fais l’objet de critiques de la part de certaines personnes, et c’est tout à fait normal. J’encourage tout le monde à accepter la critique, car notre objectif commun est le bien de l’équipe nationale. », a-t-il conclu.
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