Algérie Foot – La Coupe du monde (CDM) 2026 s’annonce historique avec 48 équipes, 3 pays hôtes et déjà 13 nations qualifiées mais pas encore l’Algérie.
Alors que les éliminatoires battent leur plein dans plusieurs continents, la Coupe du monde 2026 prend déjà forme avec treize nations officiellement qualifiées. Ce tournoi, qui marquera un tournant dans l’histoire du football mondial, sera inédit à plusieurs égards. Pour la première fois, trois pays — les États-Unis, le Canada et le Mexique — accueilleront conjointement la compétition, créant ainsi une dynamique logistique et culturelle sans précédent. Cette édition signera également l’entrée en vigueur du nouveau format à 48 équipes, contre 32 lors des éditions précédentes, une refonte qui vise à démocratiser davantage l’accès au plus prestigieux des tournois.
Prévue du 11 juin au 19 juillet 2026, cette Coupe du monde retrouvera sa traditionnelle place estivale, abandonnée lors de l’édition qatari de 2022 pour des raisons climatiques. Le retour à un calendrier plus classique permettra aux sélections de mieux structurer leur préparation, et aux supporters de vivre l’événement dans une temporalité plus familière.
À ce stade, les sélections qualifiées reflètent un équilibre entre valeurs sûres et nouvelles ambitions. Outre les trois pays hôtes automatiquement qualifiés, l’Amérique du Sud verra l’Argentine, le Brésil et l’Équateur défendre ses couleurs. Côté asiatique, le Japon, l’Iran, l’Ouzbékistan, la Jordanie, la Corée du Sud et l’Australie ont également validé leur ticket, tandis que la Nouvelle-Zélande représentera l’Océanie. Quant à l’Algérie, bien qu’elle ne soit pas encore officiellement qualifiée à la Coupe du Monde, elle s’en approche à grands pas, portée par un parcours solide qui laisse présager une issue favorable.
L’enjeu est d’autant plus grand pour les sélections encore en lice que la FIFA a revu la répartition des places : l’Europe bénéficiera de 16 billets, l’Afrique de 9, l’Asie de 8, l’Amérique du Sud de 6, la zone CONCACAF de 6 (dont les trois hôtes), l’Océanie d’un seul, tandis que deux places seront attribuées via des barrages intercontinentaux. Cette redistribution vise à équilibrer les chances, notamment pour les nations africaines et asiatiques souvent sous-représentées par le passé, tout en rendant la compétition plus globale et imprévisible.
Le nouveau format, réparti en 12 groupes de 4 équipes, assurera un minimum de trois matchs à chaque sélection qualifiée. Les deux premiers de chaque groupe, ainsi que les huit meilleurs troisièmes, accéderont aux seizièmes de finale, une innovation qui garantit un suspense accru dès la phase initiale. Si le débat sur la dilution du niveau sportif persiste, cette réforme reflète une volonté claire : faire de la Coupe du monde un spectacle encore plus universel, en phase avec la mondialisation croissante du football.
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