Algérie Foot – Après un an passé à la tête de la fédération algérienne de football (FAF), c’est l’heure du bilan pour Amara Charaf Eddine !
Alors que les polémiques sont nombreuses du coté de Dely Brahim, le président de la fédération algérienne de football (FAF) est pointé du doigt. Ainsi, surtout après la terrible élimination des hommes de Djamel Belmadi dès la phase de poule de la dernière coupe d’Afrique des Nations (CAN 2021), qui c’est tenue au Cameroun. À en croire nos confrères de La Gazette du Fennec, l’ancien président du CR Belouizdad s’est présenté à la tête du football algérien avec un programme très ambitieux, Amara Charaf Eddine a toutefois commis des erreurs.
Il faut dire que le “candidat” unique et de dernière minute à la direction de la FAF était un étranger au monde du football il y’a de cela encore trois ans. Ce qui fait de lui un candidat inéligible. Ensuite, au lendemain de sa nomination, ses choix des différents présidents de commissions ont été faits sans consulté les principaux concernés, et ce, pour ne pas fâcher certains de ses collègues.
Confronté au souci du cumul de fonctions, le successeur de Kheïreddine Zetchi a été incapable de trouver des solutions. Toujours selon la même source, le PDG du groupe Madar a étouffé le gros scandale Djilali Touil. Affaibli et fragilisé par tout ça, Charaf Eddine Amara a recruté un homme de 70 ans comme intermédiaire entre les clubs et les arbitre, sur demande de son bras droit, Benhamza.
De plus, le président de la FAF ouvre une commission mixte FAF-MJS sur ordre du ministère de la jeunesse et des sports. Amara a décidé de mettre à la porte son SG a une semaine du match décisif contre le Burkina Faso. Il faut ajouté a tout ça sa gestion catastrophique du personnel, ainsi que les augmentations des salaires et les récompenses.
Pour finir, l’homme d’affaire de 57 ans vient tout juste de limoger le directeur technique national et son adjoint.
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