Algérie Foot – Le coach Carlos Queiroz a été sondé par la FAF pour prendre en charge l’équipe d’Algérie, mais un ancien joueur à lui a mis en garde la FAF.
L’équipe nationale iranienne de football a remporté une victoire cruciale contre son homologue japonais en quart de finale de la Coupe d’Asie 2023 avec un score de 2-1, assurant ainsi sa place en demi-finale du tournoi actuellement organisé au Qatar. La compétition se poursuivra jusqu’au 10 février prochain, offrant aux coéquipiers de la star italienne de l’AS Roma, Sardar Azmoun, l’opportunité de viser leur quatrième titre continental.
Suite à ce match, le journaliste d’Al-Arabi Al-Jadeed a rencontré Sardar Azmoun, l’attaquant de l’AS Roma, qui a livré une performance exceptionnelle et a joué avec un esprit combatif malgré l’absence de son partenaire d’attaque, Mehdi Taremi de Porto, exclu du match en raison d’une carte rouge reçue lors du match contre la Syrie en huitièmes de finale.
Azmoun a déclaré au sujet de l’absence de Taremi : “Il y avait beaucoup de pression sur moi, c’était comme si j’étais en combat sans mon grand frère à mes côtés. Lorsque je suis sous pression, j’essaie de répondre sur le terrain. J’espère que cette victoire sera un stimulant pour continuer à compétitionner.”
L’attaquant de l’AS Roma, qui a été impliqué dans la création du premier but de la rencontre, a également parlé de l’esprit affiché par l’équipe et de la solidarité pour revenir dans le match après avoir été menée 1-0 à la mi-temps. Il a déclaré : “Nous sommes tous frères, et celui qui commet une erreur est compensé par les autres. Nous nous motivons mutuellement. Nous avons joué un bon match, et Dieu merci, nos joueurs se soutiennent toujours.”
Azmoun a révélé le secret de l’esprit affiché par l’équipe, qui avait été absent ces dernières années malgré la participation à la Coupe du Monde en 2018 et 2022. Il a averti de manière implicite Walid Sadi sur un éventuel recrutement de Queiroz en Algérie, en affirmant : “Je n’ai jamais vu une équipe unie comme celle-ci. Je n’ai jamais vu l’équipe nationale de cette manière sous Carlos Queiroz et Dragan Skočić.” Il faisait référence aux deux entraîneurs qui ont dirigé l’Iran au cours des années précédentes, avant l’arrivée de l’entraîneur actuel, Amir Qal’eh Novi.
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