les Tunisiens ont été supérieure jeudi face au Algériens
qui étaient très décevants, tout ce jouer dans l’état d’esprit
qui a évolué chez Aigles de Cartage durant les 90 minutes
contrairement aux Fennecs.
Durant 20 minutes, On a cru retrouver chez les nôtres la
détermination et la volonté d’aller de l’avant mais ce ne fût qu’un
petit feu qui s’est éteint très rapidement, avant de retomber
petit à petit, manque de travail collectif, une équipe
avec quasiment sans âme.
Aucune résistance
L’ensemble de ce qui se passe autour de la sélection éloigne l’Algérie de la victoire. Des choix et des non choix du sélectionneur et de ses adjoints, une politique footballistique menée par le président de la fédération “Mohamed Raouraoua”.
Aucun plan du jeu
Personne ne savait comment il fallait jouer,à qui donner la
balle, qui reste en défense et qui monte. Guedioura s’est fait
remarquer par ses nombreuses fautes mais c’est juste parce-que
y’avait que lui qui courrait pour arracher des ballons.
Nabil Bentaleb était étouffer par Rachid Ghezzal en meneur de
jeu et avec notamment des excentrés Mahrez & Brahimi qui
étaient censés fermer les couloirs.
Aucun Coaching
Que dire des changements!
Sortir Brahimi alors qu’il était le plus dangereux avec rage sur le
terrain, le remplacer par Hanni à la 74e minute alors que ce
dernier aurait du remplacer Ghezzal depuis bien longtemps (
comme il pouvait le faire entré depuis le début )
Entrée tardive de Bounedjah, un Slimani absent durant les deux
derniers matchs doit être remplacer!
Bentaleb oublié au milieu il ne jouait presque pas.
Sans oublier l’entrée de Abeid à la 93e minute alors que les
joueurs étaient chauds pour égaliser.