Algérie Foot – À l’approche de la Coupe d’Afrique, une nouvelle règle inhabituelle émane de l’équipe nationale du Maroc dirigée par le sélectionneur Walid Regragui, assez similaire à une de Djamel Belmadi. Les joueurs marocains sont priés de ne pas arborer des coupes de cheveux extravagantes pendant le tournoi. Cette décision a rapidement été suivie d’une transformation capillaire notable, la plupart des joueurs optant pour une solution radicale : le crâne rasé, que les joueurs ont adoptés durant des Omras pour certains.
Tout comme Belmadi, Regragui semble mettre en avant l’idée que l’unité visuelle contribue à renforcer l’unité d’équipe sur le terrain. Cette approche tranche avec la tendance actuelle du football, où les coupes de cheveux audacieuses sont souvent mises en avant comme des expressions individuelles.
Un parallèle frappant peut être établi avec le sélectionneur de l’Algérie, Djamel Belmadi, qui a également instauré des règles strictes concernant les coupes de cheveux de ses joueurs. L’anecdote d’Adam Ounas, contraint d’enlever sa coloration capillaire lors d’un stage antérieur, témoigne de l’attention particulière accordée à l’apparence des joueurs.
Belmadi, quant à lui, adresse des avertissements fréquents à Belaili pour éviter toute coupe de cheveux jugée trop excentrique. Cette discipline capillaire chez les Fennecs semble être une composante clé de la vision de Belmadi pour maintenir une image sérieuse et professionnelle de son équipe.
En conclusion, Regragui et Belmadi, chacun à leur manière, mettent en avant l’importance de l’uniformité capillaire au sein de leurs équipes respectives. Le crâne rasé des joueurs marocains et les avertissements récurrents en Algérie soulignent l’impact que peut avoir l’apparence sur la cohésion d’équipe. La Coupe d’Afrique s’annonce donc non seulement comme un spectacle de talent footballistique, mais aussi comme une vitrine de discipline capillaire.
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