Algérie Foot – Le sélectionneur national de l’équipe d’Algérie, Djamel Belmadi, se retrouve au centre de l’attention pour sa décision controversée de fermer les entraînements de l’équipe aux médias pour le deuxième jour consécutif lors de la Coupe d’Afrique des Nations en Côte d’Ivoire. Cette décision, qui semble enfreindre les règles de la FIFA et de la CAF, suscite des débats et des interrogations.
Selon les règlements des grandes compétitions officielles de la FIFA et de la CAF, les entraînements peuvent être fermés aux médias une seule fois avant chaque match. De plus, il est généralement permis de les ouvrir pendant au moins quinze minutes pour permettre la couverture médiatique. Cependant, Djamel Belmadi a choisi de maintenir la confidentialité des séances d’entraînement de l’équipe nationale algérienne pour le deuxième jour consécutif, une décision qui peut être considérée comme allant à l’encontre des normes établies.
Cette situation soulève des questions sur les motivations derrière cette démarche. Certains pourraient soutenir que la confidentialité accrue pourrait aider à préserver des tactiques spécifiques ou à minimiser les distractions pour les joueurs. D’un autre côté, cela peut être interprété comme un manquement aux règles établies pour assurer une transparence minimale lors de compétitions aussi médiatisées.
Il est également pertinent de noter que les séances d’entraînement des autres équipes du Groupe D, telles que le Burkina Faso, la Mauritanie et l’Angola, ont été ouvertes aux représentants des médias. Cette disparité dans l’approche suscite des opinions divergentes quant à savoir si le premier responsable de la barre technique des Verts adopte la meilleure stratégie pour préparer son équipe à la compétition.
En fin de compte, la décision de Djamel Belmadi de maintenir la confidentialité des entraînements pendant deux jours consécutifs crée une certaine controverse, et l’opinion publique reste partagée sur la question de savoir si cette approche est bénéfique ou si elle va à l’encontre des normes établies par les instances dirigeantes du football international. La suite de la compétition pourrait apporter des réponses à ces questions et déterminer l’impact de cette décision sur la performance de l’équipe nationale d’Algérie dans la CAN en Côte d’Ivoire.
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