Algérie – Burkina Faso : L’Algérie s’apprête à disputer un deuxième rendez-vous crucial dans cette CAN 2025 au Maroc, face au Burkina Faso, et les supporters algériens viennent de recevoir une nouvelle qui risque de booster encore un peu plus l’engouement autour du choc : la rencontre sera commentée par la voix la plus iconique du football algérien, Hafid Derradji. L’annonce, relayée par le journaliste algérien Nassim Hadfi, a fait l’effet d’une vague euphorique sur les réseaux sociaux, où les supporters ne masquent jamais leur attachement à celui qui accompagne les exploits des Verts depuis plus d’une décennie. Pour un match décisif dans le groupe E, cette présence derrière le micro symbolise bien plus qu’un simple choix de programmation : elle incarne une forme d’union émotionnelle entre le peuple algérien et son équipe nationale.
Sportivement, cette deuxième journée s’annonce comme un tournant. Après une entrée en compétition réussie pour les hommes de Vladimir Petković, l’Algérie doit désormais confirmer face aux Étalons, une sélection burkinabè qui, même sans être favorite du tournoi, reste connue pour sa discipline et sa capacité à surprendre face aux grandes nations africaines. Dans la perspective de la qualification, chaque point pèsera lourd. Les Verts le savent : pour se détacher dans ce groupe et aborder la suite avec sérénité, il faudra afficher davantage de maîtrise, d’intensité et surtout de réalisme dans le dernier geste. Ce contexte ajoute encore plus d’importance au cadre médiatique entourant cette affiche : c’est dans ce genre de rendez-vous que les émotions se transmettent, et la voix de Hafid Derradji a souvent accompagné les moments les plus historiques du football algérien.
Cette décision de BeIN Sports d’attribuer le match à ce commentateur illustre également l’audience conséquente de l’Algérie sur la scène africaine et arabe. Là où d’autres nations suscitent de l’intérêt ponctuel, les Verts attirent une ferveur continue, capable de faire bondir les audiences et d’embraser les débats. Le symbole est fort : le public algérien aura sa voix, son narrateur, son repère. Pour Petković et ses joueurs, ce soutien sonore venu des écrans ne sera pas visible sur la pelouse du Grand Stade, mais il résonnera dans les foyers, dans les cafés et dans les rues. L’Algérie entre dans un moment où chaque détail compte. Celui-ci, même anodin en apparence, pourrait encore ajouter du feu au cœur des supporters.
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