Lors de la cérémonie d’ouverture de la CAN 2025 organisée au Maroc, l’absence du Roi du Maroc a fortement retenu l’attention. Selon certaines sources, son absence n’est pas simplement protocolaire mais serait liée à un état de santé préoccupant, laissant supposer qu’il est gravement malade. Pour pallier cette absence, un cadre contenant sa photo a été placé à côté de Patrice Motsepe, président de la CAF, et de Gianni Infantino, président de la FIFA, pendant leurs interventions. Cette présence symbolique a permis de maintenir l’équilibre protocolaire et d’affirmer l’importance institutionnelle du Roi dans le soutien au tournoi malgré son incapacité à être présent physiquement.
Cette disposition visuelle a rapidement capté l’attention des médias et des spectateurs, qui ont immédiatement perçu le geste comme un hommage discret tout en soulignant le poids politique et culturel du souverain dans le domaine sportif. Dans un événement où chaque détail protocolaire est scruté, le cadre placé à côté des dirigeants du football international a servi à rappeler le rôle central du Maroc dans l’organisation et le succès logistique de la CAN 2025. Cette alternative symbolique a permis de compenser l’absence du Roi tout en respectant la solennité et la portée officielle de la cérémonie.
La situation a également suscité des commentaires sur la fragilité de la santé du souverain et sur les implications diplomatiques de son absence lors d’un événement continental majeur. Les organisateurs ont su gérer l’imprévu avec pragmatisme et finesse, en maintenant l’image de continuité et de prestige du tournoi. Pour le public africain et international, cette mise en scène n’était pas qu’un détail esthétique, mais un rappel de l’autorité et de l’influence du Roi, même en convalescence ou confronté à une maladie grave.



































