Algérie Foot– Sous la présidence du Dr Patrice Motsepe, la Confédération africaine de football (CAF) a récemment décidé d’augmenter le soutien financier accordé aux unions zonales et aux associations membres. Cette initiative vise à renforcer les structures et les capacités des organisations de football à travers le continent.
Le montant de la subvention annuelle pour les unions zonales a été porté de 450 000 USD à 750 000 USD, un bond significatif qui témoigne de l’engagement de la CAF à soutenir le développement du football à tous les niveaux. De même, la subvention accordée aux associations membres est passée de 250 000 USD à 400 000 USD. Ces hausses permettront aux instances du football africain de mieux gérer leurs activités, d’améliorer les infrastructures et de promouvoir le football à la base.
Les réactions ne se sont pas fait attendre. Kurt Okraku, président de la WAFU B, a exprimé sa gratitude envers le président Motsepe, soulignant l’énorme travail qu’il a accompli depuis son arrivée à la tête de la CAF. « Nous remercions le président Motsepe pour l’immense travail qu’il a réalisé depuis qu’il a pris ses fonctions », a-t-il déclaré.
Guy Blaise Mayolas, président de l’UNIFFAC, a également remercié Motsepe pour son accompagnement durant ce parcours. « Nous vous remercions, président, de marcher avec nous sur ce chemin », a-t-il affirmé, mettant en avant l’importance de la collaboration entre les différentes instances du football africain.
De son côté, Lamin Kaba Bajo, président de la WAFU A, a salué le leadership du président Motsepe et le ton qu’il a établi au sein de la CAF. « Nous remercions le président Motsepe pour son leadership et le ton qu’il a donné à la CAF », a-t-il souligné, témoignant de la confiance grandissante des acteurs du football africain envers la direction actuelle de la CAF.
Cette décision de la CAF marque un tournant dans l’approche de la confédération en matière de soutien aux unions zonales et aux associations. En augmentant les ressources financières, la CAF montre son engagement à développer le football sur le continent et à améliorer les conditions de travail des différentes instances. Cela pourrait également conduire à des résultats plus positifs pour les équipes nationales et les clubs africains sur la scène internationale.
Les prochains mois s’annoncent donc prometteurs pour le football africain, avec des ressources supplémentaires qui pourraient faire la différence dans le développement du sport sur le continent.
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