Algérie Foot – Suite à la confirmation de cette nouvelle inattendue auprès de plusieurs sources au sein de la CAF, le Maroc semble encore une fois prendre le dessus sur l’Algérie.
En effet, l’horizon politique de la Confédération Africaine de Football (CAF) est en ébullition à l’approche de la fin du mandat du président Patrice Motsepe en 2025. Alors que des incertitudes entourent sa volonté de briguer un second mandat, le climat s’est fortement détérioré lors de la récente Assemblée générale de la CAF à Abidjan, laissant le président sortant fragilisé.
Fouzi Lekjaa, fort de deux nouveaux soutiens acquis au Comité exécutif, Abdulhakim Al Shalmani (Libye) et Mutasim Gafar Sirelkhatim (Soudan), a consolidé sa position et renforcé son emprise sur l’exécutif de l’instance. Cette situation met en péril les ambitions de Patrice Motsepe pour un second mandat, car il se retrouve désormais dans une position délicate, avec peu de chances de succès même avec le soutien de Gianni Infantino.
Pour le Maroc, cette tournure des événements est une excellente nouvelle, Fouzi Lekjaa, qui gagne en influence, souhaite se débarrasser de Patrice Motsepe, ce qui pourrait favoriser les intérêts marocains au sein de la CAF, en revanche, pour l’Algérie, c’est une très mauvaise nouvelle, Patrice Motsepe était un allié de taille pour le pays au sein de la CAF. Avec son départ probable, l’Algérie perd un soutien essentiel qui pourrait fragiliser sa position au sein de l’instance continentale du football.
Alors que le suspense demeure quant à la décision finale de Patrice Motsepe concernant un second mandat, l’équilibre des forces au sein de la CAF continue d’évoluer, laissant les nations concernées dans l’attente des développements futurs.
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