Lors de l’entraînement de l’équipe nationale ce samedi 27 décembre, Baghdad Bounedjah et Youcef Atal ont offert un moment de légèreté qui a détendu l’atmosphère du groupe. Les deux joueurs se sont charrés amicalement sur le terrain, dans un échange qui a rapidement attiré les regards amusés des coéquipiers et du staff.
À un moment, Bounedjah, sur un ton ironique et à haute voix, a lancé à Atal : « Je ne suis pas Neymar moi », déclenchant les rires autour de lui. Ce trait d’humour illustre bien l’esprit de camaraderie qui règne dans le vestiaire, où la complicité entre joueurs permet de relâcher la pression tout en préparant les prochains matchs.
Cette interaction, totalement bon enfant, montre que malgré l’intensité des entraînements et la concentration nécessaire pour la CAN 2025, les Verts savent garder des moments de légèreté. Elle contribue également à renforcer la cohésion du groupe, un élément essentiel pour traverser les phases exigeantes du tournoi.
Les autres joueurs présents ont suivi la scène avec amusement, certains se joignant même aux taquineries, mais tout cela dans le respect et la bonne humeur. Après cet échange, Atal et Bounedjah ont repris leur entraînement normalement, concentrés sur la préparation du match contre le Burkina Faso, prévu dans les prochains jours.
Cette scène rappelle que derrière l’engagement et la détermination sur le terrain, l’équipe nationale sait combiner professionnalisme et convivialité. Ces moments de complicité, loin de perturber la préparation, renforcent la motivation et l’esprit collectif indispensables pour affronter des adversaires redoutables et atteindre les objectifs fixés pour cette CAN 2025.
Au final, ce petit moment humoristique entre Bounedjah et Atal témoigne de la bonne santé du vestiaire algérien et de la capacité des joueurs à maintenir un équilibre sain entre sérieux, compétitivité et camaraderie.
































