L’attaquant international algérien Amine Gouiri, actuellement en phase de récupération après son opération de l’épaule, a donné des nouvelles rassurantes quant à l’évolution de sa convalescence. Blessé à la suite d’un choc violent subi en octobre lors d’une rencontre face à l’Ouganda, le joueur de l’Olympique de Marseille poursuit sa rééducation au centre médical Aspetar, à Doha.
Selon lui, le choix d’une intervention chirurgicale s’est imposé comme une évidence après les premiers examens. « Les examens ont montré que la solution la plus fiable était l’opération. Ce n’est jamais simple, mais cela fait partie du parcours d’un joueur », a expliqué l’international de 25 ans, décrivant une période « compliquée » précédant la confirmation du diagnostic définitif.
Depuis son arrivée à Aspetar – centre reconnu et partenaire médical de la Fédération algérienne – l’attaquant affirme que sa récupération se déroule dans des conditions idéales. « Tout se déroule correctement. Je suis bien suivi par les spécialistes, le kiné et le physiothérapeute. On avance progressivement. Les installations et l’encadrement ici facilitent vraiment la récupération », a-t-il précisé, visiblement satisfait du suivi médical dont il bénéficie.
Malgré cette dynamique encourageante, le doute demeure quant à une participation éventuelle à la prochaine Coupe d’Afrique des nations, prévue du 21 décembre au 18 janvier au Maroc. Les délais sont extrêmement serrés, et chaque étape de sa rééducation sera déterminante. Le staff médical reste prudent, d’autant plus que l’objectif est d’éviter tout risque de rechute.
Conscient des enjeux, Gouiri se veut tout de même positif et reconnaissant envers l’établissement qui l’accompagne dans cette étape cruciale de son retour. « La réputation d’Aspetar n’est plus à présenter. Tout est réuni ici pour une guérison rapide. Je suis heureux d’être ici », a-t-il conclu, laissant espérer un retour prochain, même si la CAN semble encore difficile à atteindre dans les temps.



































