Algérie Foot – Suite à la défaite décevante contre la Mauritanie, Djamel Belmadi, l’entraîneur de l’équipe algérienne, a choisi une excuse surprenante lors de sa conférence de presse en réaction aux critiques. Face aux interrogations sur son rendement, Belmadi a déclaré : “Quand je suis arrivé, on était 14e en CAF et 60e au classement FIFA. Aujourd’hui, nous sommes 4e en CAF et 30e FIFA.”
Cette réponse, bien que technique, a été perçue par certains comme une tentative de détourner l’attention de la défaite récente et de l’élimination prématurée de l’Algérie de la Coupe d’Afrique des nations.
Certes, l’amélioration du classement FIFA et CAF depuis l’arrivée de Belmadi est indéniable, et il a réussi à redonner une dynamique positive à l’équipe. Cependant, certains observateurs estiment que cette statistique ne devrait pas être utilisée comme une excuse face à des résultats médiocres.
Les supporters et les analystes du football sont en droit de s’interroger sur la pertinence d’une telle justification. Si l’ascension dans le classement mondial est un indicateur important, la performance actuelle sur le terrain et les résultats dans les compétitions majeures restent les critères ultimes pour évaluer le succès d’un entraîneur.
En fin de compte, la déclaration de Belmadi suscite des débats sur la manière dont les entraîneurs gèrent les critiques et sur la légitimité d’utiliser des statistiques de classement comme réponse à des performances décevantes.
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