Pourtant l’assemblée générale ordinaire réunie en février avait adopté à l’unanimité le bilan moral et financier de l’institution qui n’est pas endettée, dispose, fait très rare sur le continent africain, d’un véritable trésor de guerre et a de grands projets de développement.
Est-ce le silence appuyé du président sortant, Mohamed Raouraoua, qui inhibe les envies ?
Est-ce la pression politique dans un pays où le football est bien plus qu’un sport ?
Il faut rappeler que Raouraoua n’a toujours pas dit ce qu’il comptait faire: rempiler ou rendre le tablier.
Si la situation n’évolue pas dans les prochains jours, la commission de candidature se verra dans l’obligation de reporter l’assemblée générale extraordinaire prévue initialement le 20 mars.