Amine Gouiri, attaquant de l’équipe d’Algérie, poursuit à rythme soutenu son processus de guérison, loin de Marseille, dans l’un des établissements médicaux les plus réputés au monde. L’international algérien de l’Olympique de Marseille, touché à l’épaule et opéré il y a quelques semaines après sa dernière apparition avec la sélection algérienne, a pris ses quartiers à Doha, au centre sportif et médical Aspetar, pour mener une rééducation minutieusement encadrée.
D’après les informations relayées par le média français La Provence, le joueur évolue dans un cadre médical strict, avec une feuille de route conçue pour accélérer sa récupération tout en évitant tout risque de rechute. Son programme comprend notamment des séances intenses de physiothérapie ciblant l’épaule, un travail de renforcement autour de l’articulation afin de consolider le maintien du membre blessé, ainsi que des exercices progressifs destinés à retrouver l’amplitude et la souplesse naturelles du mouvement.
Chaque étape est suivie de près par un corps médical spécialisé qui assure une surveillance quotidienne de son évolution, en mesurant précisément la réaction de son épaule aux efforts imposés. Ce contrôle permanent permet d’adapter au jour le jour les charges de travail, afin de garantir une progression stable et sécurisée.
Selon les mêmes sources, Amin Gouiri commence à ressentir les premiers signes d’un véritable bond en avant. Le joueur indique être nettement mieux qu’au début de sa rééducation, un ressenti que le staff médical considère comme un signal très positif. Cette amélioration, jugée significative à ce stade du traitement, laisse penser qu’il pourrait franchir les prochaines étapes du protocole avec la même constance.
Si aucune date de retour n’a encore été évoquée, la dynamique actuelle est encourageante pour l’international algérien comme pour l’Olympique de Marseille. Son choix de s’isoler à Aspetar, loin des sollicitations quotidiennes du club et dans un environnement exclusivement dédié au haut niveau, semble déjà produire ses premiers effets.































