Algérie Foot – Le passage de l’attaquant de l’équipe d’Algérie, Youcef Belaïli, au Stade Brestois continue de faire couler l’encre en France.
Dans une récente déclaration, Grégory Lorenzi, directeur sportif du Stade Brestois, est revenu sur l’un des choix les plus controversés de son mandat : le recrutement de Youcef Belaïli, sans détour, le dirigeant breton a qualifié l’attaquant de l’équipe d’Algérie de « plus gros flop » du club, pointant du doigt une incompatibilité avec l’identité de l’équipe.
Lorenzi a expliqué que, suite au départ de Romain Faivre, son intention initiale était de recruter un jeune talent prometteur, comme Maghnes Akliouche. Cependant, sous l’insistance de l’entraîneur de l’époque, Michel Der Zakarian, Brest s’est finalement tourné vers Belaïli, un joueur plus expérimenté mais dont l’intégration n’a jamais été à la hauteur des attentes.
L’expérience brestoise de Belaïli aura été marquée par des hauts et des bas, entre éclairs de génie et irrégularité chronique. Son passage en Bretagne s’est achevé prématurément sur fond de tensions et d’incompréhensions, laissant un goût amer au sein du club. Pour Lorenzi, cette signature était une erreur stratégique : « Quand tu ne respectes pas ton ADN, ça ne peut pas fonctionner. »
Ces déclarations relancent le débat sur la gestion de Belaïli en Europe. S’il brille aujourd’hui sous les couleurs de l’Espérance de Tunis, son aventure brestoise illustre les difficultés qu’il a rencontrées à s’imposer sur le long terme hors du championnat africain. Une analyse qui, sans doute, fera réagir les supporters algériens.
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