Algérie Foot – Le coach Djamel Belmadi semblait complètement incapable de trouver des solutions face aux équipes qu’il a affrontées en Coupe d’Afrique des Nations (Angola, Burkina Faso et Mauritanie). En est-il arrivé au point d’aligner un joueur alors qu’il est blessé ?
La récente confrontation de l’équipe nationale algérienne contre la Mauritanie a mis en lumière une décision tactique audacieuse du sélectionneur Djamel Belmadi. Dans un choix qui a suscité de vives discussions, Mohamed Amine Amoura, le dynamique joueur de l’Union Saint-Gilloise, a été préféré à Youcef Belaili sur le flanc gauche de l’attaque. Cette décision a cependant soulevé des questions, notamment en raison de l’état de forme d’Amoura.
Avant cette rencontre cruciale, le natif de Jijel avait subi une blessure lors du match contre le Burkina Faso, souffrant de douleurs à l’épaule. Bien que des doutes planaient sur sa capacité à participer pleinement au match contre la Mauritanie, il a insisté pour jouer. Son courage et sa détermination sont indéniables, mais cette blessure a pu influer sur ses performances.
Sur le terrain, Amoura a fait face à une défense mauritanienne robuste et bien organisée. Son adversaire n’a pas laissé d’espaces, ce qui a considérablement limité l’impact habituel du jeune Fennec, connu pour sa vitesse et sa capacité à exploiter les espaces ouverts. La question se pose alors : la décision de Belmadi d’aligner un Amoura moins en forme a-t-elle été judicieuse ?
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