Algérie Foot – Un nouveau rebondissement est survenu dans l’affaire opposant l’USMA au TAS.
En effet, l’USMA est face à l’incertitude : des questions sur le choix de l’avocat français
L’avenir de l’USMA en demi-finale de la Coupe de la CAF est assombri par des doutes quant à la compétence de l’avocat français Arnaud Constant, choisi pour défendre le club devant le Tribunal arbitral du sport (TAS).
Selon le journaliste Yassine Benlamnor, le TAS a refusé de traiter l’affaire en urgence, mettant en cause la solidité des arguments présentés par l’avocat. De plus, il s’avère que Me Arnaud Constant manque d’expérience en droit sportif, n’ayant jamais plaidé devant le TAS ni dans aucune affaire sportive depuis la création de son cabinet en 2022.
Cette situation soulève des questions sur les motivations de la FAF de recommander Me Arnaud Constant, d’autant plus qu’un avocat expérimenté, Nicolas Bon, avait été initialement proposé et avait même accepté de défendre l’USMA avant de se rétracter.
La présence d’un employé d’origine marocaine au sein du cabinet de Me Arnaud Constant alimente également les spéculations.
L’USMA se retrouve donc dans une position délicate, face à un adversaire marocain et à un avocat qui semble ne pas disposer des compétences nécessaires pour défendre ses intérêts de manière optimale. La direction du club est appelée à clarifier les raisons du choix de Me Arnaud Constant et à rassurer les supporters quant à l’avenir de l’équipe dans cette compétition.
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