Un match électrique et plein de suspense s’est déroulé à Lusail, où l’Égypte et le Koweït se sont quittés sur un score de 1–1, au terme d’une rencontre marquée par l’intensité, un carton rouge et un but tardif. La confrontation, qui s’inscrivait dans le cadre du groupe C, a tenu les spectateurs en haleine jusqu’à la dernière seconde. Bencheikh a donné son avis et s’est vu attaqué par les Egyptiens.
Le Koweït a ouvert le score à la 64ᵉ minute, concrétisant une action offensive bien construite par une frappe précise qui a surpris la défense égyptienne. La domination des Pharaons s’est fait sentir dans le dernier quart d’heure, mais c’est finalement en fin de match que l’Égypte est parvenue à égaliser grâce à un penalty transformé à la 88ᵉ minute. Ce but a permis aux Égyptiens de sauver l’honneur, mais la frustration restait palpable face à une rencontre qui semblait déjà gagnée pour le Koweït.
Ali Bencheikh, analyste sur Al-Kass, n’a pas caché son point de vue sur l’issue de la rencontre : « À cause de la naïveté du gardien koweïtien, l’Égypte a égalisé. Le match était terminé pour le Koweït. » Ces propos reflètent l’impression générale d’un match où la supériorité numérique et la pression exercée par l’Égypte en fin de rencontre n’ont pas suffi à transformer l’égalité en victoire.
La tension est montée d’un cran à la 83ᵉ minute, lorsque le Koweït a dû jouer à dix à la suite de l’expulsion d’un de ses joueurs. Malgré cette infériorité numérique et huit minutes de temps additionnel, les Égyptiens n’ont pas réussi à inscrire le but de la victoire, laissant planer un sentiment de frustration côté Pharaons.
Avec ce résultat nul, les deux équipes restent en lice pour la qualification dans le groupe C, et l’ultime journée s’annonce décisive pour déterminer qui continuera le tournoi. Chaque point devient crucial, et cette égalité tardive souligne combien le moindre détail, comme une erreur défensive ou une décision arbitrale, peut changer l’issue d’une rencontre.



































