La préparation de l’équipe nationale algérienne pour la CAN 2025 se déroule dans des conditions idéales, mais elle n’est pas exempte d’interrogations. Vladimir Petković doit encore trancher sur trois postes essentiels, à moins d’une semaine du premier match du tournoi.
À gauche de la défense, le duel entre Jouan Hadjam et Rayan Aït-Nouri symbolise la profondeur de l’effectif algérien. L’un incarne la régularité et l’engagement, l’autre la créativité et le talent pur. Le choix final dépendra autant du plan de jeu que de l’état de forme du moment.
À droite, Belghali semble partir avec une longueur d’avance, mais le staff garde un œil attentif sur l’évolution de Samir Chergui. Son retour pourrait redistribuer les cartes, surtout si Petković opte pour une défense plus offensive.
Au milieu, l’association avec Bennacer reste le dernier grand point d’interrogation. Boudaoui ou Zerrouki ? Intensité ou maîtrise ? Ce choix aura un impact direct sur la capacité des Verts à contrôler le rythme des matchs.
Sans match amical pour tester ses options, le sélectionneur algérien mise sur une confrontation interne pour affiner ses choix. Une méthode risquée, mais assumée, dans l’objectif d’aborder la CAN 2025 avec une équipe équilibrée et compétitive dès le premier match face au Soudan



































