À la recherche active d’un latéral gauche et d’un meneur de jeu pour rééquilibrer son équipe avant la reprise, la direction de la JSK se heurte en parallèle à une réclamation financière majeure de l’USM Alger concernant Mehdi Merghem. Une situation qui pourrait impacter les mouvements prévus lors de ce mercato.
Une priorité : recruter un latéral gauche
Depuis plusieurs semaines, la JSK multiplie les pistes pour enrôler un latéral gauche capable d’apporter de la stabilité à un poste qui a souvent fait défaut cette saison. Et le nom qui revient avec insistance n’est autre que celui du Mauritanien Khadim Diaw, libre de tout contrat depuis le 1er décembre. Son profil plaît : joueur puissant, porté vers l’avant, expérimenté en compétitions africaines avec le FC Nouadhibou, il représente une opportunité idéale pour les Jaune et Vert.
Libre, disponible immédiatement, Diaw coche toutes les cases d’un renfort rapide. Des contacts ont déjà été établis et la JSK semble prête à accélérer les discussions pour boucler ce dossier au plus vite. Toutefois, rien n’est encore finalisé.
Un meneur de jeu également recherché
La direction kabyle souhaite aussi attirer un meneur de jeu capable de dynamiser l’animation offensive. Le club souffre d’un manque de créativité au cœur du jeu et veut rectifier le tir avant la seconde partie de saison. Plusieurs profils auraient été proposés, mais aucune décision n’a encore été prise.
Le problème : l’USMA réclame 4 milliards
Alors que la JSK travaille sur ces deux renforts, un imprévu majeur est venu perturber ses plans : l’USM Alger réclame les indemnités de transfert de Mehdi Merghem, dont la somme s’élèverait à près de 4 milliards de centimes.
Cette réclamation repose sur les accords signés lors de l’arrivée du joueur à la JSK. Selon l’USMA, les montants convenus n’ont pas été réglés dans leur totalité, et le club exige désormais le paiement immédiat.
Une telle somme représente un poids considérable sur les finances kabyles, déjà fragilisées. Ce litige pourrait impacter le budget alloué au recrutement, voire ralentir certaines négociations — notamment celles concernant Diaw.



































