La confrontation tant attendue entre Al Ahly et la JS Kabylie a débuté sous une tension palpable au Caire, et le premier acte confirme toute l’intensité de ce choc de la Ligue des champions africaine. À la pause, Al Ahly mène 2-0 grâce à des réalisations rapprochées de Trézéguet à la 36ᵉ minute et de Mohamed Sherif trois minutes plus tard.
Pourtant, le score pourrait être bien plus sévère pour les Canaris. Hadid, le gardien de la JSK, a multiplié les arrêts décisifs, détournant au moins deux occasions nettes qui semblaient certaines de finir au fond des filets. Ses interventions ont permis à son équipe de rester dans le match malgré la pression incessante des Égyptiens et le soutien bruyant de leur public.
Al Ahly, dominateur dans la possession et dans la construction du jeu, n’a pas manqué d’occasions et met clairement en avant son statut de favori. La JS Kabylie, pour sa part, montre des signes de solidité défensive et de réactivité, mais peine à trouver la faille face à une équipe qui ne laisse aucun répit à ses adversaires.
À mi‑temps, les Canaris doivent se réorganiser, corriger certaines erreurs et espérer que leur gardien continue son festival pour envisager un retour possible en seconde période. La bataille tactique est lancée, et chaque action peut devenir déterminante pour la suite du groupe B, où les Young Africans et l’AS FAR Rabat suivent également leur parcours.
Ce premier acte laisse présager une seconde mi‑temps tout aussi électrique, avec une JS Kabylie obligée de se montrer plus incisive et un Al Ahly prêt à punir la moindre erreur. Le suspense reste entier, et les fans présents au Caire comme ceux qui suivent le match depuis le Maghreb retiennent leur souffle.


































