Algérie Foot – Rayan Aït-Nouri, nouveau joyau de Manchester City, impressionne l’Angleterre par sa vitesse balle au pied et son audace offensive rare.
Le talent du latéral gauche algérien Rayan Aït-Nouri ne cesse de susciter l’admiration, même en dehors des frontières. Cette fois, c’est Maik Taylor, journaliste et ancien international britannique, qui a tenu à saluer publiquement les qualités exceptionnelles du joueur de Wolverhampton, qu’il considère comme « un profil unique dans le football anglais ».
Dans un entretien accordé à un média spécialisé, Taylor n’a pas tari d’éloges à l’égard de l’international algérien : « Rayan Aït-Nouri possède une qualité rare chez un latéral : la vitesse avec le ballon. Il ne se contente pas de défendre ou de centrer. C’est un joueur capable de casser les lignes à lui seul, par des percées directes vers la surface. »
Plus qu’un simple défenseur de couloir, Aït-Nouri incarne le latéral moderne par excellence. Offensif par nature, il joue souvent comme un ailier infiltré, multipliant les appels et les incursions dans les espaces libres. Une caractéristique qui, selon Taylor, « crée un déséquilibre constant dans les défenses adverses » et « force les blocs à se réorganiser en permanence ».
Mais ce qui impressionne le plus le spécialiste britannique, c’est le courage tactique du Fennec : « Il ne recule jamais face au duel. Là où beaucoup de latéraux préfèrent recycler le ballon ou revenir en arrière, Ryan cherche le un-contre-un, le dribble, la progression verticale. Cela demande une grande lucidité et une maîtrise technique certaine. »
À seulement 24 ans, Aït-Nouri s’impose comme l’un des atouts les plus précieux de l’équipe d’Algérie, notamment aux yeux du sélectionneur Vladimir Petkovic, qui voit en lui une solution offensive capable de faire basculer un match. Déjà courtisé par de grandes écuries européennes, le natif de Montreuil semble avoir franchi un cap en Premier League, où sa polyvalence et sa régularité sont désormais reconnues.
À l’aube d’échéances cruciales pour les Fennecs, le nom d’Aït-Nouri revient avec insistance comme l’un des profils clés de la nouvelle génération. Et si le salut algérien venait de ce flanc gauche aussi imprévisible qu’audacieux ?
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