Algérie Foot – Après avoir fait le buzz avec ses déclarations tranchantes sur les binationaux, Islam Slimani a dévoilé une facette plus intime et touchante de sa personnalité dans le podcast Kampo, animé par Smaïl Bouabdellah. L’ex-buteur des Verts y revient longuement sur son parcours atypique, son lien indéfectible avec l’Algérie, et surprend en exprimant une ambition forte : présider un jour la Fédération algérienne de football.
« Être président de la FAF ? Un jour, pourquoi pas ! Je sais que je peux changer quelque chose en Algérie. Je suis revenu au CRB dans cette optique », lance Slimani avec conviction. Derrière cette déclaration, c’est toute une vision qui se dessine : celle d’un homme profondément attaché à son pays et désireux de contribuer autrement à son développement footballistique.
Tout au long de l’entretien,
Slimani rappelle son amour du maillot vert :
« Je suis un joueur qui se donne à fond, qui aime jouer pour son
pays. […] Pour moi, c’est une fierté de représenter ce pays.
»
Des mots simples mais forts, à l’image d’un joueur dont la carrière
a toujours été guidée par le cœur.
Son parcours, il ne l’oublie pas. Parti de la 3e division à 22 ans, il évoque ses débuts dans les rues d’Aïn Benian : « Mon rêve, c’était de jouer à Aïn Benien. » Malgré les critiques : « Je marquais et on m’insultait », Slimani s’est forgé seul : « J’ai été suivi par moi-même. »
Avec émotion, il évoque aussi
la passion du public algérien :
« L’Algérien vit pour son équipe nationale. […] Même au Brésil, je
n’ai pas vu ça. »
Du terrain aux coulisses du football, Slimani semble prêt à écrire une nouvelle page.
Après avoir fait le buzz avec ses déclarations tranchantes sur les binationaux, Islam Slimani a dévoilé une facette plus intime et touchante de sa personnalité dans le podcast Kampo, animé par Smaïl Bouabdellah. L’ex-buteur des Verts y revient longuement sur son parcours atypique, son lien indéfectible avec l’Algérie, et surprend en exprimant une ambition forte : présider un jour la Fédération algérienne de football.
« Être président de la FAF ? Un jour, pourquoi pas ! Je sais que je peux changer quelque chose en Algérie. Je suis revenu au CRB dans cette optique », lance Slimani avec conviction. Derrière cette déclaration, c’est toute une vision qui se dessine : celle d’un homme profondément attaché à son pays et désireux de contribuer autrement à son développement footballistique.
Tout au long de l’entretien,
Slimani rappelle son amour du maillot vert :
« Je suis un joueur qui se donne à fond, qui aime jouer pour son
pays. […] Pour moi, c’est une fierté de représenter ce pays.
»
Des mots simples mais forts, à l’image d’un joueur dont la carrière
a toujours été guidée par le cœur.
Son parcours, il ne l’oublie pas. Parti de la 3e division à 22 ans, il évoque ses débuts dans les rues d’Aïn Benian : « Mon rêve, c’était de jouer à Aïn Benien. » Malgré les critiques : « Je marquais et on m’insultait », Slimani s’est forgé seul : « J’ai été suivi par moi-même. »
Avec émotion, il évoque aussi
la passion du public algérien :
« L’Algérien vit pour son équipe nationale. […] Même au Brésil, je
n’ai pas vu ça. »
Du terrain aux coulisses du football, Slimani semble prêt à écrire une nouvelle page.
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