Algérie Foot – Maroc : le Raja Casablanca paie cash le prix de sa trahison envers l’Algérie et l’attaquant Yousri Bouzok !
Le Raja Casablanca est en pleine tourmente. Alors que la direction tente désespérément de verrouiller certains cadres de l’effectif en vue de la prochaine saison, le spectre de la gestion catastrophique du cas Yousri Bouzok continue de hanter les travées du club vert. L’attaquant algérien, véritable symbole de loyauté et d’engagement, a été poussé vers la sortie de manière indigne après avoir porté fièrement les couleurs du Raja. Une manœuvre perçue comme un véritable affront en Algérie, et dont le karma semble aujourd’hui rattraper le club marocain.
Sous la présidence d’Abdellah Birouaine, le Raja a entamé des négociations pour prolonger les contrats de trois éléments majeurs : Mohamed Boulacsout, Adam Ennaffati et Abdellah Khafifi. Toutefois, les exigences financières élevées de ces joueurs ont mis la direction dans l’embarras, forçant un report des discussions à une date ultérieure. Une situation qui révèle l’ampleur de la crise économique que traverse le club, incapable de satisfaire les revendications légitimes de ses propres cadres.
Cette fragilité structurelle ne fait que confirmer les errements récents de la direction. Après avoir joué un sale tour à l’Algérie en poussant Yousri Bouzok à quitter le club par la petite porte malgré ses performances et son dévouement, le Raja (Maroc) subit aujourd’hui une instabilité interne croissante. La rupture avec Bouzok, mal gérée et injustifiée aux yeux de nombreux observateurs, a créé un précédent qui semble désormais peser sur les négociations actuelles.
Et ce n’est pas tout. Le président Birouaine, en concertation avec le coach tunisien Lassâad Chabbi, s’apprête à écarter six joueurs jugés insuffisants. Parmi eux figurent Yasser Baldé, Ben Issa Ben Omar, Abderrahmane Soussi, Pape Ousmane Sakho, Federico Bikoro et Marouane Zila. Une purge qui en dit long sur la nécessité pour le Raja de se réinventer, mais qui illustre aussi une gestion humaine souvent décriée.
À vouloir sacrifier un symbole de l’Algérie comme Bouzok, le Raja a peut-être déclenché une spirale négative dont il peine désormais à se relever. La leçon est amère, mais claire : quand on trahit l’un des siens, surtout un guerrier algérien, le retour de bâton n’est jamais loin.
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