Algérie Foot – La rencontre qui s’est tenue dimanche dernier entre le PDG de Mobilis, Chaouki Boukhazani, et le président de la JSK, Ould-Ali, a permis de clarifier plusieurs points restés en suspens lors de précédentes réunions. Grâce à la médiation de Walid Sadi, ministre des Sports et fraîchement réélu à la tête de la FAF, un accord a été trouvé en un temps record entre les deux parties.
Mobilis a accepté de débloquer un budget conséquent pour la gestion du club. Bien que certaines informations évoquent un montant de 400 milliards de centimes, dont 280 milliards destinés au règlement des dettes, aucune confirmation officielle n’a été donnée sur le montant exact. Néanmoins, cette enveloppe permettra aux dirigeants d’assurer une gestion efficace, avec l’obligation de rendre des comptes en fin de saison.
Une exigence de projet sportif structuré
En contrepartie de ce soutien financier, Mobilis a demandé aux dirigeants de la JSK de présenter un projet sportif à moyen et long terme. Ces derniers n’ont pas tardé à exposer leur ambition : redonner au club son prestige d’antan. En attendant la construction du centre de formation, leur priorité reste de terminer la saison sur le podium afin de décrocher une place en compétition continentale. Actuellement cinquième après la victoire de l’ASO contre le MCO, la JSK garde toutes ses chances, à condition de réaliser un parcours sans faute en phase retour. Une qualification en Ligue des Champions africaine pourrait d’ailleurs ouvrir la voie à une rallonge budgétaire pour renforcer l’effectif et rivaliser avec les grands clubs du continent.
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