Algérie Foot – L’engouement était palpable. Dès les premières lueurs du jour, une marée humaine s’était formée devant les portiques du stade du 5-Juillet, impatiente de prendre place pour l’ultime affrontement entre le MCA et le CRB. Les fans des deux équipes n’ont pas hésité à braver l’aube pour s’assurer une place dans les gradins de ce temple du football.
Les instructions étaient pourtant sans équivoque : les portes du stade n’ouvriraient qu’à 11 heures ce vendredi, pour se refermer à 15 heures. Cela n’a en rien découragé les supporters des deux clubs rivaux. À 6 heures du matin, les abords du stade résonnaient déjà des chants et des clameurs des fans, qui avaient envahi les lieux en masse.
Cette finale de la Coupe d’Algérie s’annonce comme l’une des plus suivies de l’histoire récente. L’opération de vente des billets, qui avait débuté mardi, s’était transformée en une véritable mêlée générale, tant la demande était forte. Les supporters étaient prêts à tout pour obtenir le précieux sésame leur permettant d’assister à ce match tant attendu. La sûreté nationale a été claire : seuls ceux munis de billets pourront accéder au stade, afin de garantir un flux ordonné et sécurisé.
Les autorités ont également mis en garde contre toute tentative d’introduire des articles interdits comme des pétards ou des fumigènes, ainsi que contre l’utilisation de billets contrefaits. De telles infractions entraîneront des poursuites judiciaires. Un dispositif de sécurité robuste a été déployé pour assurer le bon déroulement de la rencontre.
Le coup d’envoi, prévu à 17 heures, a été retardé d’une heure pour permettre à tout le monde de s’installer dans les meilleures conditions. Les portes du stade seront ouvertes de 11 heures à 15 heures, après quoi l’accès sera strictement réservé aux officiels et aux personnes accréditées.
L’attente est immense, l’excitation à son comble. La finale de la Coupe d’Algérie 2024 entre le MCA et le CRB promet d’être un spectacle inoubliable, un véritable feu d’artifice de passion et de talent sur le terrain.
Lire également :
” On voulait… ” : les mots forts de Ali Bencheikh sur Tebboune
