Algérie Foot – Walid Sadi, président de la FAF, a reçu un coup de pression pour zapper les coachs européens et opter ainsi pour un sud-américain.
L’équipe nationale algérienne traverse actuellement une période de transition, après que Djamel Belmadi a confirmé son départ de la direction technique des Fennecs. Les médias algériens et internationaux ont ainsi discuté de plusieurs noms potentiels pour entraîner l’équipe nationale et diriger les coéquipiers du capitaine Riyad Mahrez dans les prochains temps.
Les opinions divergent quant au retour de Vahid Halilhodžić, tandis que d’autres se montrent optimistes quant à l’entraîneur serbe Petrović, ainsi que Carlos Queiroz et d’autres noms qui dominent la scène sportive. Cependant, le choix sera difficile compte tenu de l’importance des échéances qui attendent les Fennecs, avec en point de départ la CAN au Maroc l’année prochaine, suivie des qualifications pour la Coupe du Monde 2026. Ceci place Walid Sadi dans une situation délicate pour éviter toute erreur dans le choix du prochain staff technique.
” Il est remarquable que les noms évoqués se concentrent sur les écoles européennes, malgré leur précédent échec avec les Fennecs. On mentionne notamment l’école française dirigée par Gourcuff, ou l’Europe de l’Est avec Halilhodžić, qui s’est seulement illustré lors de la Coupe du Monde en échouant en Afrique. Il en va de même pour l’école espagnole représentée par Alcaraz, qui est passée à côté avec les Fennecs, ou même Queiroz et d’autres noms qui ont également été décevants dans leurs expériences avec les équipes africaines. Cela soulève des questions sur le manque d’orientation vers l’école latino-américaine qui a fait ses preuves en Europe et dans le monde, avec des noms comme Sampaoli et Simeone, entre autres, qui ont remporté des titres mondiaux avec les équipes nationales.”, a écrit un célèbre média influent algérien.
” Ce que les jeunes du CR Belouizdad montrent actuellement sous la direction du coach brésilien Beccacece, et le style de jeu élégant que les coéquipiers de Benayada proposent, ont créé une similitude entre les caractéristiques du joueur algérien et le style latino-américain, qui se concentre sur la technique et la vitesse de jeu. Ces caractéristiques sont également présentes chez les éléments de l’équipe nationale, tels que Amoura, Belaïli, Aït Nouri, et d’autres qui ont prouvé leur talent sur le plan artistique, et qui ont besoin d’un entraîneur capable de libérer leur potentiel avec l’équipe nationale algérienne.”, a-t-il ajouté.
La décision de choisir le prochain sélectionneur national reste entre les mains du président de la Fédération algérienne de football, Walid Sadi, compte tenu de plusieurs facteurs, notamment financiers, qui joueront un rôle crucial dans le choix du prochain entraîneur en chef des Fennecs, en plus de la langue et d’autres points qui accompagneront le processus de sélection du coach.
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