Algérie Foot – Les pistes Halilhodzic et Queiroz sont-elles vraiment tombées à l’eau pour l’équipe d’Algérie à cause d’un ” voisin ” ? Une folle rumeur a fait le tour des réseaux sociaux, au cours de ces derniers jours. Cette dernière a été vite dissipée par la fédération tunisienne de football.
En effet, les informations selon lesquelles la Fédération tunisienne de football serait sur le point de signer un contrat avec un entraîneur renommé du football africain convoité par l’Algérie pour diriger l’équipe nationale de Tunisie dans les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 et la Coupe d’Afrique des Nations 2025 au Maroc sont infondées, ont confirmé des sources exclusives au site “winwin”.
Algérie : Halilhodzic n’intérésse finalement pas la Tunisie
Certaines sources médiatiques tunisiennes et arabes ont rapporté un intérêt important de la part des responsables de l’équipe nationale tunisienne pour l’entraîneur français Hervé Renard. Cependant, son engagement actuel avec l’équipe féminine française complique la mission actuellement. Certains considèrent que l’option réaliste serait l’entraîneur français d’origine bosniaque, Vahid Halilhodžić, ainsi que d’autres noms expérimentés en Afrique tels que le Portugais Carlos Queiroz et même le Français d’origine comorienne Amir Abdou, qui entraîne actuellement l’équipe nationale de Mauritanie. Il y a aussi le Belge Tom Saintfiet, qui a démissionné de son poste d’entraîneur de l’équipe nationale de Gambie, une information démentie par des sources du site “winwin”.
Ces cinq entraîneurs ne sont cependant pas actuellement dans les priorités de la Fédération tunisienne en raison de leurs salaires annuels élevés et d’autres raisons, notamment les difficultés rencontrées par la structure supervisant le football avant la formation de la commission qui choisira le nouveau coach de la Tunisie. De plus, de nombreuses parties souhaitent reporter la résolution de cette question importante après les élections du nouveau bureau fédéral le 9 mars prochain.
L’identité du prochain entraîneur de l’équipe nationale de Tunisie est un sujet de débat, avec des médias tunisiens et arabes évoquant différents noms. Certains rapports indiquent un désir local de la part des responsables du football de recruter un entraîneur étranger, tandis que d’autres estiment qu’un entraîneur local serait plus réaliste, quelques mois seulement avant la reprise des qualifications pour la Coupe du Monde 2026.
La Fédération tunisienne a rapidement pris la décision de se séparer de l’entraîneur tunisien Jalal Al-Qaderi, annonçant la fin de son contrat ainsi que celui de ses adjoints Sliem Ben Ashour et Ali Boumnijel. La Tunisie a ainsi tourné la page sur cet encadrement technique controversé, s’ouvrant sur une nouvelle ère où le duo Montassar Louhichi et Anis Boussaïdi prend les rênes de l’équipe.
Le dossier du nouveau sélectionneur de l’équipe nationale tunisienne, qui devrait succéder à Jalal Al-Qaderi après l’échec de la Coupe d’Afrique des Nations 2024, reste au centre des préoccupations du milieu sportif tunisien. Les supporters attendent avec impatience de connaître l’identité du nouveau capitaine des “Aigles de Carthage”, engloutis dans un océan de déception et de mécontentement. Dans ce contexte, la Fédération tunisienne a décidé lors de sa réunion du 30 janvier dernier d’ouvrir la porte aux candidats intéressés par le poste d’entraîneur de l’équipe nationale, avec une commission nouvellement formée chargée d’examiner les candidatures et de soumettre ses propositions au prochain bureau fédéral.
La prochaine élection générale de la Fédération tunisienne de football est prévue pour le 9 mars, afin d’élire un nouveau bureau fédéral pour superviser les affaires du football en Tunisie pour le mandat (2024-2028).
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