Algérie Foot – Après la défaite à Blida face au Cameroun, l’âge moyen des poulains de Djamel Belmadi a été pointé du doigt comme élevé, entraînant une quête de renouveau du côté du staff technique. Toutefois, malgré les efforts, la transition n’a pas été aussi significative que prévu.
En effet, le retrait d’Amine Gouiri et d’autres jeunes talents a ouvert la voie à des vétérans, soulevant des interrogations quant à la composition actuelle et à ses perspectives pour la Coupe du Monde 2026.
Un renouvellement timide
Bien que des recherches aient été entreprises pour injecter du sang neuf dans l’équipe, l’impact n’a pas été aussi marqué que prévu. Et pour cause, l’absence d’Amine Gouiri, ainsi que les retraits de jeunes talents tels que Jaouen Hadjam et Badredine Bouanani, ont créé un déséquilibre. Le retour de Rais M’Bolhi et l’ajout de Moustapha Zeghba ont maintenu la présence de vétérans au sein de l’équipe, ce qui a fait passer l’âge moyen de l’EN a 28 ans.
Une composition entre jeunesse et expérience
Heureusement, l’équipe actuelle compte plusieurs jeunes talents tels que Bennacer, Houssem Aouar, et Fares Chaïbi, offrant un équilibre entre jeunesse et expérience. La présence de joueurs tels que Ramy Bensebaini et Youcef Atal apporte également une contribution significative, maintenant la flamme de l’expérience.
Le regret de l’absence
Malgré ces éléments positifs, beaucoup regrettent l’absence d’Amine Gouiri, Bouanani, et Hadjam, qui auraient pu apporter une dynamique différente à l’équipe. Leur absence pourrait être ressentie lors de la CAN actuelle, mais les espoirs restent vifs pour la compétition à venir en 2027, au cœur du continent africain.
Le défi de Belmadi
Djamel Belmadi, le sélectionneur national, est confronté au défi de convaincre les supporters que l’équipe actuelle constitue le noyau pour la Coupe du Monde 2026. Avec la qualification en vue, Belmadi cherche à équilibrer expérience et jeunesse pour assurer une transition en douceur vers l’avenir.
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