Algérie Foot – Les récentes élections du Comité Exécutif de la Confédération Africaine de Football (CAF) ont été secouées par un scandale surprenant, impliquant deux représentants de l’Algérie, à savoir celui de la JS Kabylie et de l’ES Sétif. Ce scandale a abouti à la perte d’un siège crucial pour l’Algérie au sein de l’organe exécutif de la CAF.
Les compétitions électorales ont opposé divers représentants, dont celui du Maroc (le président du Raja Casablanca), les concurrents algériens de la JS Kabylie et de l’ES Sétif, un représentant de la Tunisie, un représentant de la Libye, et un représentant de l’Égypte (Mahmoud El Khatib, président d’Al Ahly).
La victoire exigeait seulement deux voix, mais l’Algérie a perdu sa position en raison du vote de représentants de la JS Kabylie et de l’ES Sétif pour eux-mêmes, sans accord entre les deux parties. Par conséquent, ces deux représentants ont sacrifié le siège, qui est revenu au président du Raja Casablanca, Boudrika, et au représentant d’Al Ahly, Mahmoud El Khatib.
Les élections tumultueuses du Comité Exécutif de la CAF resteront gravées dans l’histoire du football d’Algérie comme un chapitre controversé. Le geste choquant des représentants de la JS Kabylie et de l’ES Sétif, votant pour eux-mêmes et sabotant ainsi les chances de l’Algérie, a suscité l’indignation des amateurs de football. Cette perte d’un siège au sein de l’organe exécutif de la CAF soulève des questions cruciales sur la discipline et la solidarité au sein de la communauté footballistique algérienne. Alors que le football devrait être un terrain de fair-play et de compétition saine, ce scandale électoral a jeté une ombre sur l’intégrité du processus électoral.
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